lundi 10 juin 2013

La CEF soutient les producteurs individuels



Paris, 6 Juin 2013 - La Compagnie des Energies de France (CEF) apporte son soutien aux producteurs d’énergie photovoltaïque victimes de pratiques commerciales abusives à travers un dispositif de prise en charge et d’accompagnement.
Après analyse des dossiers et en fonction des besoins de chacun sur le court et moyen terme, la CEF propose de raccorder les installations, terminer les chantiers ou de guider les producteurs individuels dans les démarches juridiques pour faire valoir leurs droits.
Pour appuyer le lancement de ce dispositif, la CEF offre les frais de raccordement aux 200 premiers dossiers reçus* à l’adresse e-mail suivante : contact@cdefrance.fr
L’énergie solaire est une conviction forte pour la Compagnie des Energies de France qui souhaite permettre à ces personnes de devenir producteur d’énergie propre en toute sérénité.
La CEF est à l’écoute et à la disposition de toutes les victimes que nous invitons à nous contacter par téléphone au 0 800 40 10 30.
L’équipe CEF
*Offre valable du 01 Juin 2013 au 30 Septembre 2013, sous réserve d’acceptation du dossier.
A propos de la Compagnie des Energies de France
La Compagnie des Energies de France (CEF) est une filiale du groupe français Helios Strategia, créée pour développer et proposer des solutions simples et performantes aux particuliers souhaitant devenir producteurs d’énergies renouvelables en toute sérénité. Parce que votre satisfaction est notre préoccupation, nous vous accompagnons tout au long de votre projet d’économie et d’amélioration de votre qualité de vie. La Compagnie des Energies de France est votre partenaire solaire.
A propos d’Helios Strategia
HELIOS STRATEGIA est un des leaders européens dans le conseil, la conception et la distribution de matériel photovoltaïque.
Retrouvez plus d’information sur le site www.heliostrategia.com.
Contact Presse FRANCE:
Alicia TISSOT - Tél : +33 7 60 79 76 08 – E-mail : alicia.tissot@heliostrategia.com

vendredi 7 juin 2013

UFC Que Choisir : « Gare à l’ombre des arbres » !


L’installation de panneaux solaires peut tourner au cauchemar avec une entreprise sans scrupules, mais il faut aussi se méfier des arbres du voisin susceptibles de faire de l’ombre aux capteurs.
Pour qu’un panneau solaire produise un maximum de chaleur dans le cas du solaire thermique, ou un maximum d’électricité dans le cas du solaire photovoltaïque, il doit recevoir un maximum d’ensoleillement. Autrement dit, être installé côté sud et en évitant que des ombres lui cachent le soleil.
Mais ces précautions étant prises, il arrive que les arbres du jardin voisin poussent plus que prévu ou que leur épais feuillage prenne des proportions inattendues, ce qui réduit l’ensoleillement du capteur solaire à la portion congrue. Le député UMP du Haut-Rhin Michel Sordi a fort justement posé le problème à l’Assemblée nationale, soulignant que, dans un tel cas, « la liberté des uns empêche les bonnes pratiques énergétiques des autres ».
Il existe néanmoins des règles très précises consignées dans les articles 670 à 673 du code civil.
Des distances à respecter
Les arbres dont la hauteur dépasse 2 m doivent être plantés au minimum à 2 m de la limite de propriété, les arbustes et les arbres de moins de 2 m à 0,5 m minimum. Ces distances peuvent cependant être modifiées par un règlement local, il peut être utile de se renseigner en mairie.
En cas de désaccord
Il faut avant tout chercher un arrangement à l’amiable avec son voisin. En cas de trouble de voisinage manifeste et de refus de sa part, on peut saisir le tribunal d’instance. Le juge peut contraindre à l’élagage des arbres, même si les distances de plantation minimales ont été respectées, mais l’appréciation se fait au cas par cas. Mieux vaut tenter d’entretenir des relations de bon voisinage !
Source: enerzine.com

jeudi 6 juin 2013

Exportation d’énergie solaire vers l’Europe : Desertec abandonne



Le mega projet d’implantation de centrale électrique solaire et éolienne dans le Sahara et en particulier au Maroc touche le fond. La direction de l’alliance industrielle annonce qu’elle renonce à exporter vers l’Europe l’électricité qu’elle prévoyait d’y produire.
Le méga projet solaire européen dans le désert du Sahara vient de perdre sa raison d’être : la direction de la société Desertec Industrial Initiative (Dii) renonce à exporter l’énergie solaire produite dans la Sahara vers l’Union européenne. L’information est confirmée aujourd’hui, mardi 4 juin, par Euractiv.com. « Honnêtement, il y a quatre ans, l’acheminement de l’énergie depuis l’Afrique du Nord était la raison d’être de Desertec. Nous avons abandonné cette vision unidimensionnelle. Il s’agit à présent de créer des marchés intégrés dans lesquels l’énergie renouvelable apportera ses avantages [...] C’est l’objectif principal », a expliqué Paul van Son, PDG de Dii.
Exit le projet Transgrid devenu Transgreen. Il n’est plus question de subvenir à 20% des besoins énergétiques européens en produisant de l’énergie renouvelable solaire et éolienne au Maghreb et en particulier dans le Sahara. « Nous manquons toujours de lignes et de capacités pour l’exportation à un niveau très élémentaire », estime Susanne Nies, directrice du département de politique énergétique à Eurelectric, l’association qui représente le secteur européen de l’électricité. Compliqué à intégrer au réseau électrique existant, Desertec serait aussi inutile à l’Europe. Paul van Son a expliqué que le marché européen pourrait fournir lui même jusqu’à 90 % de sa propre demande en électricité dans les années à venir.
La fin de Desertec ?
La direction de Dii vient-elle de porter un coup fatal au méga projet solaire qui avait mené à sa création ? L’an dernier l’alliance industrielle avait enregistré deux cuisantes défections. Le 22 octobre 2012, Siemens avait annoncé son retrait. La société allemande quittait totalement le marché solaire. « Le marché mondial de l’énergie solaire à concentration s’est rétréci de 4 gigawatts à un peu plus de 1 GW aujourd’hui, avait expliqué, aux Echos, Michael Süss, membre du directoire en charge du secteur Energie. Dans cet environnement, des entreprises spécialisées seront capables de maximiser leurs forces. »
Le 13 novembre c’était au tour de Bosch de se retirer du jeu. « En raison d’une situation économique plus difficile, nous avons gelé toutes nos participations, et décidé de ne pas prolonger notre participation à Desertec l’année prochaine », avait indiqué la porte-parole.
RWE travaille avec le Maroc
Le même jour, le tout premier projet pilote de Dii prenait encore un coup dans l’aile : l’Espagne refusait de s’engager dans le projet Siwand’une centrale éolienne et thermo-solaire dans le désert marocain. Ce projet pilote, évalué à 600 millions d’euros, faisait l’objet de discussions complexes sur le partage des coûts entre les différents pays, or l’Espagne se trouvait sur la route de l’électricité ; prémice de l’échec qu’enregistre aujourd’hui Desertec sur la question de l’exportabilité de l’énergie électrique.
Euractiv.com ne dit pas si le renoncement majeur de Dii a été décidé en collaboration avec le Maroc et l’Algérie, mais il ne signifierait apparemment pas la fin définitive de tout projet européen solaire au Maroc. RWE, société de réassurance allemande négocie actuellement avec des partenaires afin de créer une coalition, la première étape d’un projet de construction de centrales photovoltaïques et d’éoliennes de 50 MW dans le royaume, indique Euractiv. « Nous sommes convaincus que le projet Desertec est une très bonne occasion d’augmenter l’approvisionnement en énergie renouvelable pour l’Afrique du Nord. Même si certains critiquent le projet, nous estimons qu’il portera ses fruits à long terme », a déclaré Martin Pack, porte-parole de RWE. L’électricité produite à partir des projets marocains serait destinée au marché local et non à l’exportation.
Source :yabiladi.com

mercredi 5 juin 2013

L'UE va taxer progressivement les panneaux solaires chinois



BRUXELLES (Reuters) - L'Union européenne va imposer des droits de douane sur les panneaux solaires importés de Chine, a annoncé mardi le ( 04/06/2013 ) le commissaire au Commerce Karel De Gucht, confirmant la volonté de Bruxelles de mettre à exécution sa menace de sanctions contre les fabricants chinois qu'elle soupçonne de dumping.
Les droits de douane seront fixés à 11,8% dès jeudi mais ils pourront être portés à 47,6% en moyenne le 6 août si aucun accord n'est conclu d'ici-là avec Pékin, a précisé Karel De Gucht.
Robin Emmott et Philip Blenkinsop, Marc Angrand pour le service français, édité par Wilfrid Exbrayat.
Source : yahoo.fr